


J’adresse un grand merci à l’abbé Fabrice Loiseau et à l’abbé Jean-Raphaël Dubrule pour l’accueil qui m’a été réservé à Toulon comme à La Castille. Toute ma reconnaissance à la communauté des Missionnaires de la Miséricorde Divine.
Pensée de gratitude, enfin, envers tous ces 200 jeunes qui étaient présents pour ma conférence. J’ai été ravi de ce moment. Un jour qu’il s’était levé du mauvais pied, Paul Claudel avait osé écrire :
« Pour aimer l’humanité il faut la voir de loin » (Journal, mai-juin 1911)
Ces derniers jours, c’est précisément l’inverse qui m’est apparu !
Je vous souhaite à tous une belle fin de vacances, et vous attends avec plaisir pour nos prochains débats !